WELCOME TO THE HELL Alistair Vanderbilt MESSAGES : 5 ARRIVÉ : 10/01/2016
| Sujet: {Allistair} Pretty boy like you never survive Lun 11 Jan 2016 - 16:37 | |
| Alistair James Vanderbilt ft. Alexander LudwigMulti-Pass NOM Vanderbilt, un nom pompeux, élogieux, à l'image de sa famille de politiciens.
PRENOM Alistair James Andrew pour être exact.
SURNOM Al', Ally, divers diminutif. Mais son vrai surnom, par ses amis, ça a toujours été "Barbie" à cause de sa tignasse blonde platine et de son apparence de Ken. Mais c'était plus bien drôle de l'appeler Barbie.
AGE 23 années.
LIEU DE NAISSANCE Né à Londres, durant un voyage d'affaire de ses parents.
NATIONALITE Anglo-américain.
METIER Anciennement étudiant en politique (pour faire plaisir à papa) mais surtout joueur de football américain semi-professionnel (quarterback).
STATUE CONJUGAL Célibataire.
ORIENTATION SEXUELLE Bisexuel refoulé, officiellement hétéro.
PENCHANT Neutre, ça dépend de la situation. Mais avec un penchant pour le bien, faut croire qu'une apocalypse ça change un homme.
GROUPE Keep me alive from death.
QUALITES Protecteur, sportif, charismatique, ambitieux, tenace, ingénieux, combattif, aventureux.
DEFAUTS Orgueilleux, impulsif, sans limites, téméraire, sang-chaud, sarcastique, abrupt.
SECRETS Avec plusieurs de ses amis de l'époque, drogués et ivres, ils ont ridiculisé une fille avant d'abuser en partie d'elle. Elle a porté plainte, mais Alistair a tout esquivé grâce à l'influence de son sénateur de père.
| CARACTÈRES & DIVERS AIME / AIME PAS Ce qui l’aime, avant ou après tout ce bordel ? Alistair a toujours été un grand sportif depuis tout gamin, après tout, il se destinait à une carrière de joueur professionnel en NFL, alors bon. Il nageait, jouait au foot, pratiquait l’escalade et le jogging, le sport c’était toute sa vie, alors il n’a pas eu trop de mal à s’adapter aux conditions physiques extrêmes de la condition de survivant. Plus largement, il a toujours été un grand fêtard, certes aujourd’hui faire la fête n’est plus sa principale occupation, mais dès qu’il trouve une occasion, une bouteille d’alcool ou un peu d’inspiration, il arrive à mettre l’ambiance à lui tout seul. Déconneur et leader, en tant qu’ancien capitaine d’équipe, ça aide. Il a abandonné tout attrait pour les biens matériels, ou presque. Il ne crache pas sur un joli accessoire quand il lui arrive d’en trouver un, pour peu qu’il soit un semblant utile. Le reste, sa tenue, sa coiffure, son apparence, il n’y accorde plus aucune importance. Bien qu’il n'ai pas toujours été l’homme le plus mature et le plus moralisateur, il a davantage gagné en respect depuis la décadence du monde. Il ne supporte pas qu’on dépouille des innocents. Il déteste les groupes et plus largement les individus qui se croient supérieurs, plus fort, en mesure de profiter de la faim du monde (avec un petit jeu de mots), pour être les rois. Ces gens-là, ils les méprisent, purement et simplement. Pour le reste, en tant qu’ancien gourmand, dès qu’il peut trouver une petite douceur sucrée, il se jette dessus, enfin la récupère et la savoure à son rythme. Il faut bien trouver encore quelques plaisirs dans ce monde.CARACTERISTIQUE PHYSIQUE / PSYCHOLOGIQUE Alistair a toujours été le grand blond à la plastique parfaite de sportif. Le genre de mec conscient de son pouvoir de séduction et de sa gueule de nordique. Mais les épreuves ont marqué ce corps jusqu’alors si impeccable, sans tatouages, ni marques. Il possède une large cicatrice sur les cotes, du côté droit du corps, à la suite d’une altercation avec un survivant qui voulait lui piquer son arme. Mais Alistair ne s’est pas laissé faire, il a toujours eu un côté bagarreur qui s’est accentué avec le besoin de survivre. Par ailleurs, il a également une large trace de brûlure dans la paume de la main gauche, en voulant saisir une barre de fer brûlante, pour se défendre contre un zombie. Côté caractère, l’héritier de la colossale fortune Vanderbilt a bien évolué. Passant du garçon pourri gâté, au peu de considération pour la gente féminine et a la voiture de sport rutilante, au survivant sale, qui enchaîne les cauchemars, insomnies et qui se trouve parfois, le soir, en observant le ciel, en train de parler à sa famille, leur crachant littéralement au visage, pour l’avoir abandonné, le jetant en pâture à un monde hostile. Il a grandement mûri, le jeune Alistair. Devenant un homme, plus silencieux, plus observateur, plus protecteur envers les brefs proches qu’il a pu, ou se fait encore. Souvent trop téméraire, prêt à tout, à se mettre en danger inutilement. Mais il est devenu un très bon combattant, pas qu’avec ses poings, mais également avec une arme à feu et un couteau. Il a survécu tout ce temps et survie encore, par sa seule débrouillardise. Il a beau être encore un peu impulsif, sans chaud ou encore brut de décoffrage, beaucoup sont agréablement surprit par cette tête blonde toute droit sorti d’un numéro de GQ. Il ne parle pas de son passé, de sa famille, du milieu d’où il vient. Certains reconnaissent son nom, mais il reste très vague sur la chose. Il veut vraiment être reconnu pour ce qu’il est aujourd’hui, pas pour ce qu’il a pu être, à une époque qui lui semble bien lointaine désormais. |
Présentation « Hey Barbie, prêt pour mettre la dérouillé du siècle demain ? » Tu souris, tout en retirant ton t-shirt trempé de sueur post-entrainement. « Et comment, ils ne vont rien piger » Que tu balances, probablement un peu trop sur de toi, et pour cause. Ton équipe est jusqu’alors invaincue et le match de demain, bien que contre votre plus puissant adversaire, se dessine comme étant déjà joué d’avance, vous allez gagner, vous devez gagner. Tu es, à ce moment là, un type relativement insouciant, au compte en banque d’une indécente opulence, à la voiture de sport hors de prix, aux soirées qui dégénèrent et au nom prestigieux. Tu es celui que beaucoup détestent, comme d’autres envie. Tu es l’enfoiré de service. Tu te destines à une excellente carrière au sein de la NFL, tu es déjà sponsorisé, même encore étudiant. Tu vis ton rêve, tu vis la vie que tu as toujours souhaitée, ou presque. Evidemment, les tensions familiales ne sont pas en reste, tu ne suis pas la carrière souhaitée par ton père. Tu étudies la politique pour les apparences car en vérité, tu n’en as rien à faire. Tu vis pour le sport et pour le bon temps. Tu te souviens encore de votre victoire ce jour là, ce jour de match. Toi, porté par toute ton équipe, littéralement soulevé dans les airs, tenant le lourd trophée de la ligue nationale entre tes mains, poussant un cri de joie. Tu te souviens de cette photo prise à l’arraché et que tu gardes encore sur toi aujourd’hui, pour te souvenir, ou plutôt, pour ne jamais oublier. Car lorsque tu t’es réveillé après l’immense fête organisée dans la large maison de l’équipe, l’apocalypse était en route. Tu as la gueule de bois, ayant abusé de bien trop de substances en plus de l’alcool. Tu traines en jogging jusqu’au salon où pratiquement toute l’équipe est assise devant la tv écoutant les informations. Des informations pour le moins inquiétante. Tu te souviens des mines déconfites, partagées entre étonnement et peur. Tu t’es alors concentré sur les informations « Flash spécial, de nouveaux cas ont été détectés et mis en quarantaine, la situation semble dégénérée rapidement. Mais une question demeure, comment le gouvernement va t-il géré cette crise sans précédent ? » Vous vous regardez tous, un peu perplexe mais tu peux sentir la peur sur les visage de la plupart de tes coéquipiers. C’est vrai que la situation est plutôt flippante et même si tu restes de marbre, pas tellement effrayé, tu te poses bon nombre de question. Mais quelqu’un éteint la tv et propose des bières, malgré le fait qu’il soit dix-heures du matin vous vous jetez tous dessus et l’insouciance reprend le dessus.
Tu cours à en perdre haleine, la sueur perle à ton front. Certes, la chaleur est à son paroxysme en cette après-midi d’été, mais à vrai dire, c’est plutôt la peur qui guide tes mouvements. La peur et l’adrénaline. Tu n’es vêtu que d’une tenue simple, des baskets en toile, un short en jean et une chemise à demi ouverte. Tu as toujours la montre offerte par ton père ainsi que ta chevalière au blason familial. Tu devais passer une journée normale. Une journée banale. Au lieu de ça, tu te retrouves à fuir, fuir pour ne pas être dévoré. « Harmon court putain ! Cours ! » Que tu balances, regardant derrière, les zombies qui vous pourchassent. Sans savoir le pourquoi du comment, la Fac a sombré à une vitesse hallucinante. Vous avez été pris de cours. Tu ne sais même pas comment les évènements se sont enchaînés. « Ta voiture Barbie ! » Que te cri Harmon, ton meilleur pote, attaquant dans l’équipe. Tu attrapes, maladroitement, les clés de ta Ferrari dans ta poche et vous grimpez dans cette dernière à la vitesse de l’éclair. Deux zombies se jettent contre ta portière, mais tu démarres au quart de tour et prends la première route, vous devez vous barrer, très loin et surtout très vite. La panique régie littéralement la ville. En dévalant les rues à toutes vitesses, vous frayant un passage entre les gens effrayés, les zombies et les véhicules à l’abandon, vous assistez à un macabre spectacle. « Putain mais qu’est-ce qu’il se passe mec ! Dis-moi que le rêve putain, dis-moi que je rêve » Que balance Harmon, en plein pétage de câble, tout en se frottant le visage. « Les zombies, c’est un truc de Nerd putain ! » Qu’il balance, renchérissant, en pleine crise. « Ta gueule Harmon, on va juste se tirer d’ici » Tu gardes ton sang-froid, ce qui t’étonne d’ailleurs. Mais tu as toujours su très bien gérer la pression. Tu remercies ton père et vos longues séances de coaching pour le coup. Peut-être aussi que le fait de conduire t’aide à te concentrer. Tu craqueras plus tard. Tu ne t'en doute pas, mais c'est ce qui arrivera. Tu vomiras sur le bord de la route, le coeur battant à tes tempes, la panique envahissant tout ton être. Ce jour-là, tu verras tes premiers morts, tes premières atrocités, bien plus violentes que tu ne l’aurais imaginées. Dire que tu avais toujours aimé les films d’horreur, ce scénario dépassait de loin les possibilités de ton imagination et plus largement, des meilleurs films d’horreur qu’il t’est été donné de voir.
Par moment, tu te souviens encore du passé, de ta vie paisible à laquelle tu trouvais bien des défauts à l’époque. Aujourd’hui, tu donnerais tout pour retrouver cette vie soit disant banale. Tu ris nerveusement en observant les étoiles, à perte de vue, dans ce ciel dégagé du mois d’aout. Tu te frottes le visage. Tout ton corps est partagé entre tristesse, colère, ressentiment et mélancolie. Harmon lui, dort déjà profondément à côté de toi. Finalement, ce flippé s’est vite adapté à cette nouvelle vie, à ce nouveau monde. Tu as bien changé toi, tu as grandi mûri, évolué. Mais de là à dire que tu t’y es habitué ? Tu as beau avoir acquis de très bons réflexes, faisant de toi un très bon survivant, tu ne penses pas que tu finiras par t’habituer à tout ces zombies et plus largement, à la déchéance de l’humanité.
Derrière l'écran PRENOM Elisabeth
PSEUDO Olyenna
AGE 22 ans
SERIES FAVORITES Walking Dead, Game of Thrones, Z Nation, The Good Wife, 2 Broke Girls, Sons of Anarchy et tant d'autres !
PAYS / VILLE Toulouse, la ville rose ! En France, évidemment.
OU AS-TU CONNU LE FORUM Par le plus grand des hasard sur les tops-sites !
ACTIVITE SUR LE FORUM SUR 7 JOURS Hmmm 5/7j je dirais, plus si je suis dispo !
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Dernière édition par Alistair Vanderbilt le Mar 19 Jan 2016 - 18:00, édité 3 fois |
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