Alors que je chassais, j'entendis des bruits d'armes à feu. Je m'approche à pas de velours et je me cache derrière un rocher. Je vois un homme seul en train de fuir une bande de malfrats. Je suivi la scène jusqu'à arriver dans une ville. Ils étaient trop nombreux pour que j'intervienne seule. Je ne connaissais pas leurs signes. Tout ce que je savais, c'est qu'ils étaient mauvais. Il fallait que je réfléchit à un plan sinon ils allaient le tuer.

Je rentre doucement par l'arrière d'une maison qui se trouvait en face du groupe. Je vérifie vite fait qu'il n'y ai pas de zombie et je m'installe à l'étage. En tant que médecin j'ai toujours de l'alcool à 90°c. Je décide donc de faire un cocktail Molotov et de le lancer sur la nouvelle voiture qui arrivait. Sur coup de la surprise du petit groupe de malfrats j'en profitai pour les tuer un par un à l'aide de mon arbalète. Bien sûr je ne suis pas une Warrior non plus et deux des mecs se sont enfuis.

Je descendis et je me dirigeai vers le petit centre commercial dans lequel l'homme blessait, c'était cacher. Sur mon passage je n'avais pas oublié de ramasser mes flèches. Par chance je n'en avais cassé aucune. Je referme la porte derrière moi et je me mets à le chercher. Par chance je mis pas longtemps avant de le trouver. Je m'agenouille devant lui et l'examine sans le toucher il était vraiment mal en point. Visiblement il commençait à perdre connaissance et ça ce n'était vraiment pas bon. « Ho ! Comment tu t'appelles ? » Oublions les convenances l'heure est grave. Il perd trop de sang. « Bordel il manque plus que ça » grognais-je en voyant l'homme mal-en-point. Je pose ma main sur son front. La fièvre commençait à frapper.

Soudain un bruit attira mon attention. Je me dirige doucement vers la fenêtre. Les deux hommes étaient revenus. Je ne fis aucun bruit. Leur coup de feu avait attiré pas mal de zombies. Ça sentait mauvais pour nous. Les deux enfoirées récupéra leurs voitures et s'en allèrent sans demander leurs restes. Je soufflai devant les sombres heures qui allaient suivre. Cet homme blessé pouvait pas me faire trop mal, il est à peine conscient. «Hey! ho! tu m'entends, je suis Médecin je vais te soigner » Tsss, je laisse tomber. J'ouvre mon sac de je sors du matériel stérile. Le basique bien sûr. Mais suffisant pour sauver une vie. J'allonge l'homme blessé par terre et je commence à découper son tee-shirt. Je déglutit difficilement ma salive face à la musculature saillante de cet homme. Je laissai parcourir mes doigts sur ventre autour de sa blessure au couteau, puis je regardai sa blessure à l'épaule. Visiblement la balle n'est pas ressortie. D'où la fièvre. Je me ressaisis, ce n'était pas le moment de rêvasser sur son corps d'Apollon. J'attrape une pince a clampé et je l'enfonce dans la blessure pour retirer la balle. Bien sûr j'étaie en appui de tout mon poids sur son torse pour qu'il ne se relève pas. Une fois la balle extraite je me retirai pour la déposer sur une compresse propre.