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 le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE]

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le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] Vide
MessageSujet: le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] EmptyJeu 29 Oct 2015 - 3:35

Tout est calme. Un peu trop pour que cela soit normal. Pourtant, Louise tente de ne pas trop stresser. C'est en ayant peur qu'on finit par se faire bouffer. Soufflant fort, la jolie blonde regarde à droite, puis à gauche et finalement derrière elle avant de s'étirer. Elle a semé les deux rôdeurs qui la suivaient depuis une demie-heure. Tant mieux. Elle n'a pas vraiment envie de se fatiguer alors qu'elle n'a rien trouvé à manger pour le moment. N'importe quoi pourrait lui suffire. De toute façon, si elle n'a rien avant demain après-midi, elle sera forcée de manger deux de ses barres de chocolat pour reprendre des forces. Fronçant le nez en y pensant, la jeune O'Driscoll lâche un long soupire de frustration, continuant sa marche. Elle sait que rester sur les routes peut finir par nous coûter la vie, mais elle est sur ses gardes. Si des rôdeurs viennent de derrière, elle a le temps de les voir contrairement à dans la forêt. Haussant des épaules, elle serre doucement son couteau de cuisine entre ses doigts. Plus tôt dans la journée, elle l'a aiguisé pour qu'il s'enfonce un peu mieux dans les têtes des rôdeurs. Bientôt, elle devra sûrement utiliser sa machette si cela continue.

Inspirant doucement, Louise sursaute en entendant un cri. Elle remarque, au loin, un duo de rôdeurs et … oh. Une femme. Fronçant les sourcils, la jeune fille s'approche en vitesse, sans faire de bruits. Pourquoi ne fuit-elle pas ? Louise serre les dents et balance une pierre sur un rôdeur, puis une autre sur le second dans l'espoir de les attirer. Cela marche, parce qu'elle s'est approchée, mais elle recule très vite pour ne pas se faire bouffer. « EH ! T'attends quoi pour courir bordel ?! » Crie-t-elle, assez interloquée par l'attitude de l'inconnue. Est-ce un piège ? Non. Elle n'aurait sûrement pas pris le risque de se faire déchiqueter pour un peu de nourriture ou pour … bref. Louise préfère ne pas y penser. Les vies humaines sont tellement rares qu'elle aide parfois les gens. Quand elle le peut, bien évidemment. Deux rôdeurs, c'est facile. Mais à partir de quatre, cela devient plus difficile. Elle continue de reculer tout en jetant un regard derrière elle avant de contourner les morts vivants pour tendre la main à l'inconnue. « Grouille-toi, j'crois que d'autres arrivent. » Dit-elle simplement, tout à fait sérieuse.

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MessageSujet: Re: le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] EmptySam 31 Oct 2015 - 18:06



Le bruit des coups contre les crânes


Voilà plusieurs jours que j'erre sur les routes, que je déambule me demandant parfois si je suis encore réellement humaine où si je ne suis qu'un zombie ayant des souvenirs d'avoir été humaine. En voilà une idée bien flippante, pourtant, je ne me sens plus réellement humaine depuis si longtemps déjà que j'ai parfois du mal à me reconnaitre. C'est la faim qui me pousse a entrer dans cette ville, j'ai horreur de ça, mais les voitures sur le bord de la route n'offre que rarement de la nourriture et là je vais finir par avoir réellement très faim. Alors quand je me suis retrouver sous ce panneau, sous ces promesses de nourriture se cachant derrière la devanture de magasins abandonnés je ne réussis à résister à la tentation, l'alarme qui raisonnait dans ma tête m'imaginant aux mains de rôdeurs fut assourdit par l'idée d'ouvrir une boite de conserve ou peut être même une tablette de chocolat et savourer enfin la sensation d'avoir l'estomac plein. J'avais eut beaucoup de chance ces derniers jours, aucun monstre à l'horizon que se soit humain ou non, je n'avais pas croisé âme qui vive et je m'étais presque détendu, c'est donc avec confiance que j'entrais dans la bourgade qui semblait totalement déserte. Même si je n'étais pas réellement consciente du danger autour de moi, j'avais instinctivement appris à être silencieuse, à éviter d'attirer l'attention et donc je slalomais entre les débris, le bruit les attirais toujours et je ne voulais pas leur faire face car ici, il n'y avait aucune cachette possible, du moins je ne connaissais pas assez bien le coin pour avoir une solution de retrait et si je n'avais pas eut autant faim, cette idée m'aurait sans doute empêcher de mettre les pieds dans cette ville, de ma balader ainsi à découvert dans les rues à la recherche d'une épicerie quelconque. D'ailleurs ressemblant à un eldorado, voici qu'au coin d'une rue pas très éloigner de la sortie de la ville, se trouve un petit commerce donc la vitrine à été exploser, je ne suis pas sur d'y trouver quelque chose d'intéressant, mais je ne me sens pas le courage de pousser plus loin mon escapade, la peur reprend le dessus sur la faim et je voudrais être loin dans un petit trou pour me cacher en attendant, quoi je n'en sais rien, mais je ne veux pas être ici.

J'avance vers le magasin, prend le temps d'enjamber la vitrine en faisant attention au verre qui dépasse encore, car je le sais, si le bruit les attire, le sang c'est encore pire. Parfois ils me font pensé à des requins capable de sentir le sang sur des kilomètres pour venir vous surprendre quand vous vous y attendez le moins. C'est en frissonnant que je m'engageais dans les allées sombre de l'épicerie, tout avait été saccagés et je ne m'attendais pas à trouver quoi que ce soit, les lieux avaient du être totalement vidé au début de l'épidémie. Pourtant en cherchant bien, je réussis à remplir mon sac de deux boites de conserve, d'un paquet de chips et de deux bouteilles d'eau, j'en salivais d'avance et je dus me faire violence pour ne pas manger ici directement, pourtant je réussis à sortir du magasin et je le regrettais aussitôt. Je compris rapidement mon erreur quand je me retrouvais face à deux zombies, s'il ne m'avait pas vu au début et alors que cela aurait pu me donner une chance de fuir, je fis ce que je faisais depuis des mois, je me figeais. Comme un lapin pris dans les phares d'une voiture, je reculais même d'un pas, faisant un petit bruit en marchant sur un morceau de verre, bruit suffisant pour attirer l'attention et les faire avancer vers moi. Mon esprit me criais de fuir, de me cacher, de ne pas rester là, pourtant mon corps semblait avoir pris le dessus, les regardant approcher petit à petit, leur doigts crochus en avant, près à me déchiqueter le corps. Ce qui serait sans doute arrivé sans l'intervention soudaine d'une jeune femme, elle détourna leur attention, pris le danger sur elle et m'ordonna de fuir. Incapable, j'en étais tout bonnement incapable, pourtant, elle ne m'abandonna pas à mon sort, sa main serrant la mienne, elle me tira un coup sec forçant mon corps à bouger, me hurlant dessus que d'autres arrivaient et à bien tendre l'oreille, oui leur grognement se faisait déjà entendre.

En silence je me mis à courir, me laissant tirer par la jeune fille alors que nous tentions de mettre la distance entre nous et les décérébrés. Voilà bien longtemps que je ne m'étais pas ainsi laissé entrainé par un inconnu que je n'avais pas laisser ma confiance ainsi, mais bon, il fallait dire ce qui était, c'était une femme, je n'avais pas peur des femmes et puis elle m'avait sauvé la vie alors qu'elle nous faisais entrer dans un autre magasin. Je me rendais compte qu'au lieu de quitter la ville, elle nous avait entrainer quelques rues plus loin, entrant dans un magasin de sport délabré. Je repris lentement mon souffle, depuis son arrivée, je n'avais pas prononcé un mot, pourtant je n'étais pas ingrate et je lui devais la vie, alors entre deux respirations hachés je réussis à formuler un mot. "Merci" Je n'en dis pas plus, je ne sais pas ce que je pourrais dire de plus de toute façon, voilà trop longtemps que je suis seule, que je ne parle pas. Mon regard est attiré par un objet sur le comptoir, une batte de baseball se trouve là et je la prend entre mes mains et soudain alors que les grognements se font entendre derrière la porte annonçant que certains rôdeurs nous attendent à la sortie, je me sens déjà un peu moins faible.
© TITANIA

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MessageSujet: Re: le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] EmptyLun 2 Nov 2015 - 3:43

Louise n'en revient pas. Pourquoi cette femme ne part-elle pas ? Pourquoi recule-t-elle doucement, plus doucement que les rôdeurs eux-mêmes ? Si elle agit toujours ainsi, comment fait-elle pour être encore en vie ? Sourcils froncés, la jeune fille prend la parole et tente de servir de dîner potentiel pour ces monstres. Elle ne va pas la regarder se faire bouffer quand même. Elle n'est pas comme ça. Non. Ses parents ne l'ont pas élevés dans le but d'en faire une armoire à glace. Et puis, elle aurait sa mort sur la conscience. Louise balance une pierre sur chaque rôdeur dans le but de les attirer vers elle. Son plan marche et elle recule vivement, continuant de les appeler en les insultant alors qu'elle commence doucement à les contourner. Une fois fait, elle court vers la jolie brune et lui saisie la main avec force, la forçant à se relever tout en braillant. Non, mais quelle idiote ! Que fait-elle ?! Louise serre les dents et la tire avec force derrière elle, commençant à courir dans le sens opposé. Il faut qu'elles s'éloignent des rôdeurs. Elles doivent mettre le plus de distance entre elles et ces choses monstrueuses. Elle s'enfonce dans la ville reliée à la route sans un regard en arrière et sans lâcher la main de l'inconnue. Ses pieds la guident sans qu'elle ne réfléchisse, évitant les groupes de rôdeurs, poussant finalement la brune dans un magasin de sport avant de bloquer la porte. Elle regarde partout, vérifiant qu'aucun mort ne se trouve à l'intérieur avant de se laisser tomber au sol, essoufflée.

Elle pose une main sur son ventre, un poing de côté la faisant souffrir. Elle grimace et déglutit bruyamment, avalant sa salive avec difficulté. Ses lèvres tremblent, tout comme ses jambes. Elle relève la tête pour dévisager la jeune femme un instant, fatiguée. « T'étais sur mon chemin, j'allais pas passer et t'regarder t'faire bouffer. » Lâche-t-elle entre deux souffles rauques. Elle grimace en l'entendant. D'autres rôdeurs. Encore. Plus de quatre visiblement. Louise secoue la tête et se relève finalement, se sentant un peu mieux. Elle fouille la pièce. « Derrière. Y'a une pote derrière. Sortie de secourt. Foncer dans le tas ne servira à rien. J'pas forcément envie de me faire chopper par les vêtements ou les cheveux. » Elle lui fait signe et tend l'oreille, se collant à la porte verte, le regard dur. Cette fois-ci, elle ne l'aidera pas si elle se met à rester immobile. Elle n'a pas vraiment envie de finir en bouffe pour rôdeur. Soufflant fort, Louise s'insulte mentalement d'idiote avant de pousser brusquement la porte, se mettant à courir, esquivant un mort qui se trouvait à terre juste devant elle. Elle tient fermement son couteau, mais ne s'arrête pas une seule fois. Elle ne doit pas mourir. Non. Pas ici. Pas maintenant. Elle serre les dents et grimpe sur un grillage. « Par-là, viens ! » Elle dit, bien qu'elle ne sache pas où elle se trouve, ni même dans quelle direction aller.

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MessageSujet: Re: le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] EmptyJeu 12 Nov 2015 - 8:13



Le bruit des coups contre les crânes


Elle ne voulait pas me laisser là, face aux rôdeurs, me faire dévorer, car après tout elle passait par là. Elle ne se rendait pas compte que pour moi ce qu'elle avait fait relevait d'un acte d'une incroyable bravoure. Si les rôles avaient été inversé, est-ce que j'aurais été capable d'attirer les rôdeurs sur moi à coup de caillou. J'avais beau me poser la question j'étais bien incapable d'y répondre, l'idée d'affronter ainsi ces choses me paralysais complètement et c'est la raison pour laquelle en général je me cachais. Pourtant nous étions bien là, en vie, dans ce magasin de sport et même si l'entrée du magasin était devenu inaccessible, la jeune femme ne semblait pas décidé à rester ici caché en attendant que le danger passe. Elle voulait fuir, tenter de trouver une autre issue et là je ne comprenais pas. Le souffle court à cause de la course, mais aussi de la peur, je tentais de la freiner. "Ils partirons bientôt ..." En vain puisqu'elle ne m'écoutais de toute évidence pas. Les mains serrées sur le manche de la batte de baseball que j'avais saisit à peine arrivée, je la suivis dans le fond du magasin. "C'est de la folie." Je sens la panique monter en moi en flot continue alors que je la vois coller sa tête contre la porte, je tente de respirer profondément, de maitriser ma peur, pour rien car c'est impossible. Avant la peur je savais la gérer, je vivais avec à chaque instant et je ne me laissais pas envahir. Je ne suis plus cette femme pourtant, je ne suis plus forte, je ne suis plus rien. Ainsi quand la jeune blonde ouvrit la porte à la volée et s'élança en sautant par dessus les rôdeurs couchés au sol, je restais quelques secondes immobile, hésitant sur la marche à suivre.

Fermer la porte ? La suivre ? J'avais envie de pleurer alors que les deux options se bousculaient dans ma tête, je serais surement restée ici encore de longues secondes si un bruit de verre cassé ne s'était pas fait entendre dans la boutique. Les rôdeurs ... ils étaient en train de se frayer un chemin pour nous attraper. Laissant l'adrénaline prendre le contrôle de mon corps, je m'élançais, pour la première fois depuis des mois, je ne me cachais plus, je fuyais, pour certain, cela n'était pas grand chose, mais pour moi, s'était une nette avancée. Je sautais par dessus les rôdeurs comme l'avait fait la jeune fille avant et poussais un petit cri quand mon pied se raccrocha au dos du deuxième cadavre ambulant. Je poussais un petit cri alors que je manquais de m'affaler sur le sol, finis par me rattraper et alors je me mis à courir comme je n'avais jamais courus auparavant. Je rattrapais la jeune femme alors qu'elle commençait à grimper au grillage, j'hésite une seconde peut-être deux, mais alors le son des grognements se font entendre, ils sont là, derrière nous et ne semble pas vouloir lâcher l'affaire avant de nous avoir dégustée. "Ok" Je m'élance moi aussi à l'assaut du grillage, j'ai du mal, je n'avance pas et je glisse à plusieurs reprises, c'est bien la première fois que je fais ça et c'est à bout de souffle que je me laisse tomber de l'autre côté, je m'étale par terre, tremblante, haletante et je ne peux que voir les rôdeurs s'agglutiner à la grille passant leur bras à travers pour tenter de nous attraper. Nous nous sommes enfoncé vers le centre de la ville, il va maintenant être difficile de ressortir et pourtant je ne me suis jamais aussi sentie vivante ces derniers temps qu'à ce moment précis. Je me relève lentement profitant de cette petite accalmie pour reprendre mon souffle et je me tournais vers elle. "Si on trouve une voiture... je peux nous conduire à l'extérieur de la ville." Bon je n'étais pas certaines que cela soit faisable, mais s'était toujours plus envisageable que de rester dans les rues à découvert. "Ou alors on trouve un coin et on attend que ça se calme." Je me tournais dos au grillage et regardais vers la sortie de la petite ruelle, les choses semblaient calmes par là bas et peut être que nous allions pouvoir partir sans trop nous faire remarquer. Je serrais ma main autour de la batte, je fus surprise de ne pas l'avoir lâcher dans ma course, mais l'avoir près de moi me rassurait.

© TITANIA

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Rooney A. Grimes

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MessageSujet: Re: le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] EmptyDim 6 Déc 2015 - 12:11

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MessageSujet: Re: le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] le bruit des coups contre les crânes. [OLYMPE] Empty


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