bienvenue en enfer

Les rations d’approvisionnements commençais à se faire ressentir vraiment en baisse dans notre campement à moi et à mon frère. cela fait environs plusieurs semaines que je n‘ai pas pu donner des nouvelles à notre père, trop préoccupé par le monde extérieur, avec tous ces changements de route afin que les rôdeurs de nous retrouve pas. Comme je les détestais ces vermines, ces zombies qui se faisaient de plus en plus nombreux, j’ignore comment ils peuvent s’en rajouter autant.

Je marchais depuis des heures à tenté de trouvé un endroit au calme, je me faisais vraiment en alerte, depuis l’autre soir avec l’homme qui m’a en quelque sorte sauvé la mise. Ce qui était étrange c’est le fait que je l’avais encore en mémoire, le son de sa voix me faisait reprendre courage, je ne laissais personne entrevoir ma perturbation. Finalement mon chemin m’entraine jusque dans une autre petite ville voisine abandonnée, mon colt toujours en main, autant être prévenante et armée au cas ou je me ferais attaqué.

Mais plus je marchais plus j’avais cette impression que je ne suis pas seule, jusqu’à ce que je croise la route d’une jeune femme, une rousse et décidément elle était elle aussi armée. Ne faisant aucun geste qui peut lui indiqué que je lui veut du mal, je garde ma respiration à un rythme plus que constant et je ne flanchait toujours pas. Après tous moi aussi j’avais en quelque sorte eu le réflexe de brandir mon pistolet devant moi, dans sa direction.

- Je suis Hanna Bellerin, poser votre arme, je ne vous veux aucun mal

Dis-je calmement, je baisse en premier mon arme comme pour lui faire comprendre que les hostilités, ce n’est pas dans mes priorités, mais c’est la net sensation que je l’ai déjà vu quelque part. Pourtant son visage, j’avais un peu de difficulté à la replacer

bienvenue en enfer

Ce n’est jamais vraiment une bonne idées de surprendre une personne, même hors les hostilité avec cette ambiance en ce moment qui ne sont pas vraiment hyper sécurisante. Pourtant l’une comme l’autre, nous ne voulons pas que cella se termine en bain de sang, pas pour moi en tout cas, car je me tue pas d’innocent, mais bien des rôdeurs. Finalement je me présente en premier puisqu’elle m’a posée la question, de mon côté je lui demande de baisser sa garde, que je suis pas l’ennemis. À entendre son prénom, je suis en train de réfléchir un peu plus sur où j’aurais pu l’avoir vu, un souvenir d’elle en chemise blanche de médecin me revient en mémoire.

- Effectivement j’ai aussi travaillé à l’hôpital juste avant l’épidemie, j’y travaillais comme infirmière.

Je fini par ranger mon arme, je n’ai plus vraiment de besoin sur le moment puisque c’est assez calme autour de nous, même si nous sommes à découvert trop facilement. Il est rare que je croise des personnes sur ma route, même si c’est le cas, je ne leur parle pas vraiment et puis l’homme qu’elle me décrit sur le coup, je ne le replace pas vraiment.

- Je croise très peu de gens en ce moment, je doute donc avoir croisé sa route et donc cette description ne me dit rien.. ont peut le chercher ensemble?

Soudainement tous semblait tous se dérouler trop rapidement pour réagir comme je le fait, même dans les pires moment, instant, donc je suis surprise qu’elle ressort son arme. Finalement lorsque je me retourne, j’avais moi-même dégainer mon Colt en direction d’un autre rôdeur que je venais de voir du coin de l’oeil. Crinquant mon chargeur, je tire rapidement deux coups de feu pour les atteindre en plein dans le crâne.

- Merci..Nous sommes trop à découvert, je suggère qu’ont se met en mouvement, c’est plus sur

bienvenue en enfer

Heureusement que je suis arrivé juste à temps afin de ne pas la laisser servir de repas ou de victime à ces rôdeurs de malheur, j’avais comment cette impression que plus ont en tuait, plus ils revenaient nombreux. Ce n’est pas vraiment une perspective qui me réjouis beaucoup car ont a vraiment pas besoin d’avantage d’ennemis sur le terrain, en ville. Lorsqu’elle me parle d’un ami qu’elle avait perdu de vue, je ne peux pas vraiment lui dire que je saurais où le trouver puisque je n’ai pas vraiment pour habitude de croiser des gens normaux sur ma route, sur les routes, déjà depuis quelque temps il me semble que ce Wade n’a plus du tout refait surface.

-Moi aussi je cherchais une personne, mais bon il a du avoir des ennuis avec ces rôdeurs.. Vraiment navré de ne pas être plus perspicace dans votre recherche, mais ne vous inquiétez pas, il ne doit pas être bien loin, au pire il a du prendre abris dans une des villes abandonner jusqu’à votre retour?

Oui bon je ne suis pas doué pour les conseils, ni encore pour apaiser l’âme troublé des gens que je connais à peine, il y a seulement qu’avec mon père et mon frère que je me montre un peu plus douce. Après avoir laisser le temps à cette Mélissandre récupéré ces flèches avant de prendre le chemin, de faire notre route car en mouvement, il est moins facile de nous faire tombé dans un piège.

- Oui j’ai de la famille, c’est mon père qui m’a apprise à survivre dans ce monde de fou depuis l’épidemie et j’ai un frère jumeau.. et vous? de la famille? Des collègue encore vivant? Des amis?