Je venais de quitté mon frère qui se trouvais à une des maisons abandonnés dans la ville, il était l’heure de me chercher quelque trucs pour nous deux, afin d’évité de mourir de faim. Habituellement il reste avec moi, mais par moment c’est bien que soi l’un soi l’autre aille partir en patrouille en ville, étant infirmière il m’arrive de tombé sur des gens ayant besoin de mes soins médicaux. Seulement voilà en cours de route, je tombe sur plusieurs de ces vermines, j’avais apprit à les haïr, en règle général je ne leur faisait aucun cadeau. Donc pendant que l’un d’eux venait à ma poursuite, moi qui courait à un bon rythme afin de les faire s’épuiser un peu, je sors mon magnum en titane afin d’un buter un, puis à force d’entendre les détonations, je venais de les attiré dans un cul de sac. Puis par la suite d’autre se ramenait armé de fusil à pompe, D’autre avait des poignard un peu bon marcher, mais je savais parfaitement qu’ils peuvent être acéré. Je débouche finalement dans un petit sentier alors que je croyais y rester, je cours une nouvelle fois dans une coin sombre avez très peu de lumière, la lune se trouvait bien haute dans le ciel et soudain un de ces pourriture venait de me frôler le bras avec un de ses poignards.

-Fils de...

Je n’ai même pas le temps de terminer ma phrase que j’entend quelqu’un s’approcher dans ma direction, le grondement d’une moto se faisait clairement entendre.

J’avais tous prévu, j’avais un parcours bien précis quitte à m’attirer des ennuis, je devais être seule dans les rues puisque je me suis assez éloigner pour être à Washington. Pourtant j’avais tous prévu sauf peut-être cet horde de vermine, depuis ce fameux virus mystérieux qui avait contaminer tous sur son passage, il y a pas un instant où tu peux te balader tranquille sans être attaqué. Je ne suis pas surprise de les voir tous arrivé, à vrai dire la plupart des gens en avait peur, mais pas moi, moi je les détestais, surtout en partie à cause qu’ils ont contaminé ma mère, nous forçant à l’abandonner entre leurs mains. Je court le plus vite possible, je réussi à me faufiler vers une rue qui attire mon attention, pourtant je suis très vite encerclé par ces Zimbies. Ils sont vraiment obsédé ma parole, comme s’ils s’étaient tous donner le mot pour me faire chier. Très rapidement alors que je me retenais le bras qui était devenu un peu trop rouge et mon sang n’aidait pas beaucoup, je vois une moto arrivé avec à son bord un homme qui me donne l’ordre de monter.

- On me le dira pas deux fois..

Je ne pose pas de question alors que je voyais l’un eux me sauté presque sur le dos, je lui donne un violent coup de talon en plein visage de mes bottes Magnum Stealth. Merci à mon père qui me les a offert à mon anniversaire lorsqu’il se trouvait encore avec l’armer et que l’épidemie venait de se déclencher, me disant qu’il pouvait être utile..

Depuis ce fameux jour où la ville fut envahit par une horde de zombie, je n’en ai jamais vu autant que ce soir, comme s’ils se sont tous donné le mots. Tous hantait les rues, chaque recoins, chaque parcelle, je crois même s’il y en a autant ici qu’à Burlington. Cet homme savait parfaitement se défendre, même s’il faisait de son mieux, il y en avait plus à chaque mort, mais bon ont me le dit pas deux fois de monter à bords. J’arrive donc à me frayer un chemin jusqu’à sa moto, l’adrénaline ne me faisait pas ressentir ma blessure, après un violent coup de pied au visage d’un de ces Zombies, il part finalement le moteur. Ont roulait pendant je ne sais combien de temps, mais finalement ont s’arrête en direction d’une petite maison qui semblait abandonnée depuis des lustres. Je ne pouvais contacter mon jumeau car j’avais laisser mon portable encore fonctionnelle dans notre planque.

- tu ne crois pas qu’il serait préférable de rester grouper plutôt que de s’éloigner?

Il était sérieux là? Il serait prêt à me laisser au milieu de nul part, dans un recoins dont je ne connaissait rien de familier autour de moi que de rester? Quoique je me suis toujours débrouiller sans personne, je savais me défendre, mais bon j’ignore ce qu’il me prenait de bien vouloir qu’il reste, faut dire aussi qu’il ne me laissait vraiment pas indifférente. C’était le premier qui retenait autant mon attention et retournait tous ce foutu bordel dans ma tête depuis tellement longtemps.

J’ignorais depuis combien de temps nous roulions sur la route, moi je me contentais d’observer un peu partout afin de voir si ont nous suivait pas. J’ignorais où il nous entraînait, mais bon j’étais certaine que ce ne serais pas pour tout de suite mon retour au campement près de mon frère. Bon je crois bien que pour le moment il devra se débrouiller sans moi et je n’étais pas inquiète pour sa sécurité. On arrive finalement dans un lieu que je ne connaissais pas, devant une maison abandonner, il semblerait que personne si dors et puis je pouvais enfin souffler un peu. Pour être assez polie, je lui proposais que l’on reste groupe, par plus mesure de précaution car je ne comprenais pas comment il pouvait ne pas être angoissé de me laisser au milieu de nulpart.

- Ah parce qu’à peine il débarque à me venir en aide face à un groupe de Zombie assoiffé de sang que monsieur me connaît? De quel droit ose-tu me dire ce qui est bien ou non pour ma personne? Je ne suis pas comme toutes ces demoiselle en détresse qui a une vie parfaite.

Je soutenais son regard, les bras croisé et le regard fixé, même si je n’aimais pas élever la voix, je reste tout de même une fille rebelle qui ne se gêne pas pour dire ce qu’elle pense. Il ne dit rien de plus, je me contente donc je l’observer s’éloigner au loin, de mon côté je décide de me rendre en direction de la cabane. D’un coup de pied la porte s’ouvre pour claquer contre le mur à moitié défait, sortant ma lanpe de poche de mon sac, je commence à faire le tour, elle ne semblait pas être habiter, ce qui est un bon point, je pourrais me réchauffer en me faisant un petit feu de camp.

Il semble croire que parce qu’il est un mec qu’il doit se la jouer stéréotype de celui qui sait tous, je n’ai besoin qu’on me dis ce que je dois faire ou agir, ma famille ont toujours su ce que je pensais. Je ne disais rien d’autre, qu’il part, de toute façon comme d’habitude j’arrive très bien à me débrouiller sans l’aide de personne dans ce coin devenu un champ de bataille. Dans la maison abandonner, j’avais dans mon sac tous ce qu’il me fallait pour un feu de camp improviser, je n’ai pas vraiment envie de dormir dans le froid à l’extérieur. J’avais aussi dans mon sac ma petite trousse d’infirmière, je savais que cela me serait bien utilise, je pris donc ma bouteille d’alcool, une aiguille ainsi qu’un fil antiseptique.

- Pour l’instant il est trop tard pour y retourner, ont va devoir s’arranger ici dans cette maison jusqu'à l'aube.

Dis-je simplement en me retournant au son de sa voix, finalement à le voir devant moi il a changé d’avis, pour quel raison ? autant ne pas le savoir, tant qu’on reste groupé et qu’il me ramène auprès de mon frère à l’aube. Près d’un mur, je m’assois au sol en me laissant glissé contre le mur, j’avais ma bouteille d’alcool médicale dans la main.

- T’inquiète ce n’est vraiment pas mon intention de te sauté dessus comme un bouledogue.. moi c’est Hanna

Dis-je en le regardant juste avant de commencer à recoudre ma plaie sur mon bras.

Pour le moment ce n’est vraiment pas dans mes priorités de me prendre la tête avec, même si je sais me défendre seule, je ne sais pas pourquoi je voulais le savoir près de moi. C’est bien de s’entraider en équipe, mais je suis du genre débrouillarde et aimer la solitude, mais il semblerait que pour une raison totalement inconnu il me fait perdre mes moyens. C’est une sentiments que je ne peux pas expliquer, pour une raison inconnu, alors que je voyais mon bras toujours en mauvaise état, je décide de prendre ma trousse médicale. Après l‘avoir désinfecter à l’alcool, je prendre une aiguille que je stérilise par mes propres moyen ainsi qu’une fils médicale et je recours ma plait .

- Je suis infirmière, je venais de commencer à l’hôpital lorsque l’épidemie a commencer à s’abattre sur nous tous.

Dis-je en l’observant un moment, je ne lui dirais pas pour ma mère, il n’a pas à le savoir, sauf bien sur s’il veut vraiment en savoir plus sur moi et ma famille, mais encore aujourd’hui parler d’elle est une chose vraiment délicate..